meditation du jour
Quand vos enfants vous diront : Que signifie pour vous ce service ? vous direz : C’est le sacrifice de la pâque à l’Éternel, qui passa par-dessus les maisons des fils d’Israël en Égypte, lorsqu’il frappa les Égyptiens et qu’il préserva nos maisons.
Exode 12. 26, 27
Le Fils de Dieu… m’a aimé et… s’est livré lui-même pour moi.
Galates 2. 20
L’ancien et le nouveau.
Dans la Bible, le livre appelé “Exode” raconte comment Dieu a fait sortir d’Égypte le peuple d’Israël, alors prisonnier du Pharaon, et l’a guidé à travers le désert, vers la liberté. Arrivés dans le pays promis après quarante années de marche, les Israélites ont offert à Dieu les premiers fruits de leur récolte. Ils se sont souvenus de la condition d’esclave de leurs parents, et comment ils ont été délivrés : “Nous avons crié vers l’Éternel, le Dieu de nos pères, et l’Éternel a entendu notre cri” (Deutéronome 26. 7). C’était, à proprement parler, le cri de leurs ancêtres, mais c’était aussi leur cri.
Par la suite (verset du jour), les Israélites devaient, le soir de la Pâque, relire le récit de la sortie d’Égypte, pendant qu’ils célébraient cette fête. Cela leur rappelait qu’ils étaient au bénéfice de cette délivrance. S’en souvenir revenait à donner gloire à Dieu, mais aussi à compter sur lui pour l’avenir. Dieu reste le Dieu des délivrances.
Cela est vrai aussi pour l’enseignement de Jésus dans le Nouveau Testament. Pour qu’il ne tombe pas dans l’oubli et l’indifférence, il doit être transmis aux nouvelles générations, afin que chacun découvre que c’est aussi pour lui que Jésus est venu, qu’il a souffert la mort de la croix et qu’il est ressuscité. L’apôtre Paul écrivait : “Le Fils de Dieu m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi”. Recevoir cette parole pour soi-même, c’est cela la foi.
Dans la Bible, le livre appelé “Exode” raconte comment Dieu a fait sortir d’Égypte le peuple d’Israël, alors prisonnier du Pharaon, et l’a guidé à travers le désert, vers la liberté. Arrivés dans le pays promis après quarante années de marche, les Israélites ont offert à Dieu les premiers fruits de leur récolte. Ils se sont souvenus de la condition d’esclave de leurs parents, et comment ils ont été délivrés : “Nous avons crié vers l’Éternel, le Dieu de nos pères, et l’Éternel a entendu notre cri” (Deutéronome 26. 7). C’était, à proprement parler, le cri de leurs ancêtres, mais c’était aussi leur cri.
Par la suite (verset du jour), les Israélites devaient, le soir de la Pâque, relire le récit de la sortie d’Égypte, pendant qu’ils célébraient cette fête. Cela leur rappelait qu’ils étaient au bénéfice de cette délivrance. S’en souvenir revenait à donner gloire à Dieu, mais aussi à compter sur lui pour l’avenir. Dieu reste le Dieu des délivrances.
Cela est vrai aussi pour l’enseignement de Jésus dans le Nouveau Testament. Pour qu’il ne tombe pas dans l’oubli et l’indifférence, il doit être transmis aux nouvelles générations, afin que chacun découvre que c’est aussi pour lui que Jésus est venu, qu’il a souffert la mort de la croix et qu’il est ressuscité. L’apôtre Paul écrivait : “Le Fils de Dieu m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi”. Recevoir cette parole pour soi-même, c’est cela la foi.