meditation du jour
C’est la pâque de l’Éternel… Ce jour-là sera pour vous un mémorial, et vous le célébrerez comme une fête à l’Éternel ; vous le célébrerez en vos générations comme un statut perpétuel. Exode 12. 11-14 Toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne. 1 Corinthiens 11. 26
Une annonce, un souvenir.
Quel est le point commun entre les deux versets cités ce jour ?
– Le premier concerne la Pâque, une des fêtes juives les plus importantes. Rappelons les faits. Le Pharaon ne voulant pas libérer le peuple d’Israël, Dieu finit par lui envoyer un jugement terrible. Un ange passe sur l’Égypte et fait périr le fils aîné de chaque famille. Quant aux familles israélites, Dieu leur a donné le moyen d’échapper à ce jugement : sacrifier un agneau sans défaut et asperger de son sang l’encadrement de la porte d’entrée. L’ange épargne la maison quand il voit le sang, parce que ce sang annonce, bien longtemps à l’avance, celui de Jésus versé à la croix pour le salut des pécheurs. À la suite de cela, le Pharaon capitule et laisse partir ce peuple. Dieu demande à celui-ci de fêter chaque année cette libération.
– Le deuxième parle de la Cène, ce souper que Jésus Christ a pris avec ses proches juste avant sa mort. Dans quelques heures, il va être mis en croix et donner sa vie (son sang) pour délivrer de leurs péchés et de l’esclavage du diable tous ceux qui croiront en lui. Au cours du repas, il exprime à ses disciples le désir qu’ils se souviennent de lui et perpétuent le souvenir de sa mort, en partageant entre eux un pain et une coupe de vin.
Ainsi la Pâque et la Cène se rejoignent, l’une annonce la mort de Jésus, et l’autre la rappelle. Elles nous disent à quel point le sacrifice de Jésus est au centre de l’histoire de l’humanité.
Quel est le point commun entre les deux versets cités ce jour ?
– Le premier concerne la Pâque, une des fêtes juives les plus importantes. Rappelons les faits. Le Pharaon ne voulant pas libérer le peuple d’Israël, Dieu finit par lui envoyer un jugement terrible. Un ange passe sur l’Égypte et fait périr le fils aîné de chaque famille. Quant aux familles israélites, Dieu leur a donné le moyen d’échapper à ce jugement : sacrifier un agneau sans défaut et asperger de son sang l’encadrement de la porte d’entrée. L’ange épargne la maison quand il voit le sang, parce que ce sang annonce, bien longtemps à l’avance, celui de Jésus versé à la croix pour le salut des pécheurs. À la suite de cela, le Pharaon capitule et laisse partir ce peuple. Dieu demande à celui-ci de fêter chaque année cette libération.
– Le deuxième parle de la Cène, ce souper que Jésus Christ a pris avec ses proches juste avant sa mort. Dans quelques heures, il va être mis en croix et donner sa vie (son sang) pour délivrer de leurs péchés et de l’esclavage du diable tous ceux qui croiront en lui. Au cours du repas, il exprime à ses disciples le désir qu’ils se souviennent de lui et perpétuent le souvenir de sa mort, en partageant entre eux un pain et une coupe de vin.
Ainsi la Pâque et la Cène se rejoignent, l’une annonce la mort de Jésus, et l’autre la rappelle. Elles nous disent à quel point le sacrifice de Jésus est au centre de l’histoire de l’humanité.