meditation du jour
Ils lui ôtèrent ses vêtements et lui mirent un manteau écarlate ; puis ils tressèrent une couronne d’épines, la mirent sur sa tête, ainsi qu’un roseau dans sa main droite.
Ils fléchissaient les genoux devant lui et se moquaient de lui en disant : Salut, roi des Juifs !
Matthieu 27. 28, 29
Le Roi des rois.
Les soldats romains en charge de Jésus ne se sont pas contentés de le crucifier. Sachant qu’il a dit être le roi des Juifs, ils en profitent pour mettre en scène une moquerie odieuse, contribuant à tourner en dérision sa royauté. Au lieu d’un sceptre, symbole d’autorité, ils lui donnent un roseau, symbole de faiblesse. Ils lui tressent une couronne avec des épines qui meurtrissent son front. Et ils le revêtent d’un manteau, probablement une cape militaire, dont la couleur écarlate évoque la pourpre royale. Quelle humiliation !
Mais cette image honteuse ne sera pas la dernière vision que le monde aura du grand Roi. Le livre de l’Apocalypse révèle que Jésus reviendra de façon glorieuse. “Je vis le ciel ouvert : et voici un cheval blanc, et celui qui le montait, appelé Fidèle et Véritable… Sur sa tête il y a de nombreux diadèmes… Il est vêtu d’un vêtement teint dans le sang… Il a sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois, et Seigneur des seigneurs” (Apocalypse 19. 11-16). Quel changement ! Car “tout oeil le verra, et ceux mêmes qui l’ont percé” (Apocalypse 1. 7). Et tous “les êtres célestes, terrestres et infernaux”, même s’ils n’ont pas voulu de lui, devront fléchir les genoux devant Jésus. Tous devront reconnaître qu’il “est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père” (Philippiens 2. 10, 11).
Les soldats romains en charge de Jésus ne se sont pas contentés de le crucifier. Sachant qu’il a dit être le roi des Juifs, ils en profitent pour mettre en scène une moquerie odieuse, contribuant à tourner en dérision sa royauté. Au lieu d’un sceptre, symbole d’autorité, ils lui donnent un roseau, symbole de faiblesse. Ils lui tressent une couronne avec des épines qui meurtrissent son front. Et ils le revêtent d’un manteau, probablement une cape militaire, dont la couleur écarlate évoque la pourpre royale. Quelle humiliation !
Mais cette image honteuse ne sera pas la dernière vision que le monde aura du grand Roi. Le livre de l’Apocalypse révèle que Jésus reviendra de façon glorieuse. “Je vis le ciel ouvert : et voici un cheval blanc, et celui qui le montait, appelé Fidèle et Véritable… Sur sa tête il y a de nombreux diadèmes… Il est vêtu d’un vêtement teint dans le sang… Il a sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois, et Seigneur des seigneurs” (Apocalypse 19. 11-16). Quel changement ! Car “tout oeil le verra, et ceux mêmes qui l’ont percé” (Apocalypse 1. 7). Et tous “les êtres célestes, terrestres et infernaux”, même s’ils n’ont pas voulu de lui, devront fléchir les genoux devant Jésus. Tous devront reconnaître qu’il “est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père” (Philippiens 2. 10, 11).